Cette isolation de combles perdus est réalisée sur la commune de Dorlisheim (67). Pour ce projet, le client a souhaité la mise en place d’un R=7m².k/W en ouate de cellulose Isocell. Le client a réalisé l’ensemble de la préparation. Hemia est venu réaliser la partie la plus technique : le soufflage de ouate de cellulose.

Techniques utilisées

Pour réaliser l’isolation de ces combles perdus en ouate de cellulose, il a fallut tout d’abord protéger les tuiles de l’isolant. Ensuite, le soufflage de ouate de cellulose à pu être réalisé simplement par épandage d’une épaisseur de 34cm. D’après les normes, le tassement à long terme de l’isolant est de 20%. L’épaisseur finale sera donc de 27cm après tassement. Dans la pratique, la ouate de cellulose Isocell se tasse d’environ 12% à 15%. Les clients ont donc en réalité 29cm d’épaisseur d’isolant pour le prix  27cm ! Intéressant non ?

Les difficultés de cette isolation de combles perdus en ouate de cellulose

Lors du soufflage de ouate de cellulose dans des espaces très restreint, la poussière générée lors de l’application n’est pas diluée dans un espace important. En conséquent, pour des surfaces inférieures à 35m², l’applicateur a généralement une visibilité à maximum 1m et doit s’équiper de masque pour respirer. La poussière de ouate de cellulose étant très lourde, l’applicateur peut arrêter temporairement sa machine afin de diminuer le brouillard formé et de pouvoir constater le travail de soufflage de ouate de cellulose effectué. Quelques heures après le chantier,  l’ensemble de la poussière est retombée au sol.

Les volumes de combles perdus restreint rendre également les déplacements très compliqués. Il faut se déplacer accroupi sur les solives en faisant attention de ne pas faire de faux pas pour ne pas passer à travers le plafond. Parfois, tous le travail doit se faire allongé !

En été, la chaleur sous les tuiles rend également compliqué les opérations.

Conclusion

En conclusion, l’isolation de ces combles perdus a permis au client de réaliser des économies d’énergie, mais surtout de ne plus souffrir de la chaleur étouffante dans les chambres l’été.